Qu'il n'est pas simple de devenir marathonien !Le marathon de Paris, bien que très touristique, n'a pas la réputation de proposer un parcours facile. Si on rajoute plusieurs kilomètres de routes en pavés, du vent et une petite fraîcheur humide, le mérite de le terminer est encore plus grand.
C'est ce que les 3 bleus sont parvenus à faire pour entrer ou rester dans la famille des marathoniens.
Pour Vincent L, le chrono est remarquable en moins de 3 heures, 2h57'29.
Avec une bonne préparation à Cloyes puis à Chartres (1h26 sur semi), le master 0 peut être satisfait.
Les 2 suivants ne sont pas spécialistes des longues distances mais l'objectif est atteint.
Maxime (en photo), poussé par son "club de supporter", le conclut en 4h48'33.
Bruno s'en sort en 4h51'43.
Il nous raconte :
"Un marathon en 2001 pour seule expérience, 22 ans de plus, une préparation courte à la fois en temps et en distance, je savais donc que cela relevait du défi. J'ai réussi à courir jusqu'au 23ème km et puis j'ai alterné marche et course jusqu'à la fin, bien aidé par le soutien et les encouragements de Marie-Charlotte jusqu'à la ligne synonyme de FINISHER. Un chrono digne d'un marcheur mais la fierté d'appartenance à un groupe de 50 000 personnes. Je n'ai pas su profiter des paysages parisiens, il faudra donc que j'y retourne !!! "
Si il n'est pas possible de citer les 51100 marathoniens de Paris 2023, il n'oublie pas sa sœur Christine, du club voisin de Cloyes et son chrono de 4h38'13, de même qu'un ancien du club Grégory Sauger, 2h37'21 (gain de 4 minutes) à 49 ans ! Mais également Maxime!
On peut signaler également Freddy Guimard qui a brillamment performé en 2h15'30, 16e au général.
Bravo à tous